SIMILITUDES
Similitudes directes du plan
Définitions :
·
On
appelle similitude plane toute application f du plan dans lui-même telle que :
∃k ∈ R ∗ +, ∀ M, N ∈ P, d’images respectives M’, N’
M’N’= kMN.
k est le rapport de la similitude f.
·
Une
similitude directe plane est une similitude plane f qui conserve les angles
orientés
.
Propriété
1. Une
similitude directe est la composée d’un déplacement (translation ou rotation)
et d’une homothétie.
Propriété
2 : On
peut vérifier facilement que :
1)
Toute translation, toute homothétie et toute rotation est une similitude
directe.
2)
L’identité est une similitude.
3)
Une isométrie est une similitude de rapport 1.
4)
La composée de deux similitudes de rapports respectifs k1 et k2
est une similitude de rapport k1 × k2 .
5)
La réciproque d’une similitude de rapport k est une similitude de rapport 1/ k .
6)
Toute similitude de rapport k est la composée d’une homothétie de rap[1]port k et d’une
isométrie.
Propriété
3 :
Dans une similitude de rapport k, le produit scalaire est multiplié par k 2 .
Propriété
4 :
Une similitude conserve les angles géométriques.
Propriété
5 : Un
repère orthogonal se transforme par une similitude en un repère orthogonal,
c’est à dire qu’un triangle rectangle isocèle se transforme en un triangle
rectangle isocèle.
Propriété
6 :
Une similitude transforme une droite en droite, un cercle en cercle.
Propriété
7 :
Une similitude conserve les angles géométriques, le parallélisme,
l’orthogonalité, l’alignement, le contact, le barycentre et multiplie les aires
par le carré de son rapport.
Exemple :
On donne un triangle équilatéral
direct ABC du plan orienté. On note I le milieu de [BC]. On considère la
similitude directe s telle que : s(I) = B et s(B) = A. Déterminons le rapport
et l'angle de s.
Soit k le rapport de s
et θ son angle.
s(I) =B et s(B)= A <=
>BA=kIB et Mes(𝐼𝐵⃗,𝐵𝐴⃗ =θ
k= BA/IB=2IB/IB=2
Le triangle est équilatéral direct :θ=-2π/3
Donc s est une similitude directe de rapport 2
et d’angle - 2 π/3
Ecriture
complexe d’une similitude plane directe
Le
plan complexe est rapporté à un repère orthonormé direct (O ;⃗𝑢 ;⃗𝑣 ).
Définition
Une
similitude directe est une transformation du plan dont l’écriture complexe est
de la forme :
z’=az + b où a ∈ ℂ* et b ∈ ℂ.
Propriété
Ø Soit s une similitude
directe d'écriture complexe z' = a z + b
où a ∈ ℂ* et b ∈ ℂ.
* Si a =1, alors s est la translation de
vecteur d'affixe b.
* Si a ≠1 alors s est la similitude
directe de centre d'affixe 𝑏 /1−𝑎 , de rapport |a|,
d'angle Arg(a).
NB
: Lorsque
𝑎 ≠ 1, la similitude directe est
caractérisée par : son centre, son rapport et son angle.
Exemple1 :
Détermine
les éléments caractéristiques de la similitude directe S dont l’écriture complexe est :
𝑧
′ = (1 − 𝑖)𝑧 + 𝑖
Ø
Si
a ≠1 la similitude admet
un seul point fixe Ω. Cette similitude est alors la composée dans
un ordre indifférent d’une homothétie de rapport k = |a| de centre Ω et
d’une rotation de même centre et d’angle θ = arg(a). Si ω est
l’affixe de Ω, on a alors :
z’ − ω = keiθ (z − ω)
Exemple2 : On donne une
similitude s dont l’ecriture complexe est
z=(1 − i √
3)z − 1 + i
Cherchons
le rapport et le centre
Solution :
L’écriture complexe de la transformation f est
de la forme
z’ = az + b, donc f
est une similitude directe.
Si
Ω est le centre, ce point est invariant : f(Ω)=Ω
<=>z = (1 −
i √ 3)z − 1 + i
=> ω = −1 + i /1 − 1 + i √ 3
= −1
+ i/ i √ 3 = 1 + i/ √ 3
= 1
/√ 3 + i /√ 3 .
De plus, (1 + i
√ 3) = 2( 1/ 2 − i √ 3 /2 ) = 2e −i
π /3 .
On
en déduit que f est une similitude directe de centre Ω(
1/√3 ; 1/√3 ) de
rapport 2 et d’angle − π /3 .
Méthode.
Pour
déterminer les équations caractéristiques d’une similitude directe s
d’expression complexe
z’= az + b (a ∈ C ∗\{1}, b ∈
C),
1.
Résoudre l’équation z = az + b, on obtient le centre de s.
2.
Calculer le module de a, on obtient le rapport de s.
3.
Déterminer un argument de s, on obtient l’angle de s.
Remarque
• Toute rotation de centre A et d’angle a
est une similitude directe de centre A , de rapport
1 et d’angle a.
•Toute homothétie de centre A et de rapport k
(𝑘 > 0) est une similitude directe de
centre A, de rapport k et d’angle nul.
•Toute homothétie de centre A et de rapport k
(𝑘 < 0) est une similitude directe de
centre A , de rapport −𝑘
et d’angle 𝜋. .
Reconnaitre une similitude directe définie par son écriture complexe
Propriétés
Dans
le plan complexe P muni d'un repère orthonormé direct, on considère la
similitude directe S d’écriture complexe z' = az+ b où a ∈ ℂ*
et b ∈ℂ.
Détermination de l’écriture complexe d’une similitude directe donnée
par son centre, son rapport et son angle.
Le plan complexe est rapporté à un repère
orthonormé direct (O ;⃗𝑢;
𝑣
).
Propriété
Soit
M' un point du plan d'affixe z' qui est l’image d'un
point M d'affixe z par une similitude
directe S de centre W d’affixe 𝑧W , de rapport k et
d'angle q. On a : z’ − ω = keiθ
(z − ω)
Exemple : Donnons l’expression
complexe de la similitude s de centre Ω(2; −1)
de rapport 2 et d’angle π/ 6 .
Solution.
La similitude directe s a pour point invariant
Ω d’affixe ω = 2 − i.
On a
: z’= az + b ⇒ω = aω + b
⇒b=ω(1 − a)
⇒ z’= az ω(1 −
a)
⇒ z’ = az + ω(1 −
a).
Donc
z’= 2e i π /6 (z − 2 + i) + 2 − i
= 2( √ 3 2 + i 2 )(z −
2 + i)) + 2 − i
= (√ 3 + i)(z − 2
+ i) + 2 − i
= (√ 3 + i)z − 2 √
3 − 1 − 2i + i √ 3 + 2 − i
=
(√ 3 + i)z + 1 − 2 √ 3 + i( √
3 − 3).
Images de figures simples par une similitude directe
Propriété
1
Toute
similitude directe de rapport k transforme :
•
une droite en une droite ;
•
une demi-droite en une demi-droite ;
•
un segment de longueur ℓ en un segment de longueur kℓ ;
•un
cercle de centre A et de rayon 𝑟
en un cercle de centre A’, image de A par la similitude directe, et de rayon 𝑘𝑟.
Propriété
2
Toute
similitude directe de rapport 𝑘 multiplie :
• les distances par 𝑘
;
•
les aires par 𝑘2
Expression analytique d’une similitude directe plane
Soit f est une similitude directe d’expression
complexe z’= az + b.
Posons
z = x + iy, z’ = x’+iy’, a = α + iβ et b = m + in avec x, x’ , y, y’ , α, β, m, n ∈
R.
z’= az + b ⇐⇒
x’ + iy’ = (α + iβ)(x + iy) + m + in
⇐⇒ x’
+ iy’ = α(x + iy) + iβ(x + iy) + m + in
⇐⇒
x’ + iy’ = αx + iαy + iβx − βy + m + in
⇐⇒ x’ + iy’ = αx − βy + m + i(αy + βx + n)
⇐⇒
Le système obtenu est l’expression
analytiques de la similitude directe f.
Exemple.
1.Déterminer
l’expression analytique de la similitude directe s définie par
z’= (1 − 2i)z −
3 + i
2.Déterminer
l’expression complexe puis la nature et les éléments caractéristiques de la
similitude directe dont l’expression analytique est
Solution.
Alors, z’ = x’+iy’= (1 − 2i)(x + iy) − 3 + i
=
x + iy − 2ix + 2y − 3 + i
=
x + 2y − 3 + i(−2x + y + 1)=>
2.
z’=x’+iy’ = x −
y √ 3 + 2√ 3 + i(x √ 3 + y − √ 3)
= x(1
+ i √ 3) + y(− √ 3 + i) + 2√ 3 − i √ 3
= (z + z)/2 (1
+ i √ 3) + (z + z)/ 2 (− √ 3 + i) + 2√ 3 − i √
3
=[ (1 + i √ 3 )/2 +( − √ 3 + i)/ 2i ]z +[
(1 + i √ 3)/ 2 – (− √ 3 + i)/ 2i ]z
+ 2√ 3 − i √ 3 = (1 + i √ 3)z + 2√ 3 − i √ 3
L’équation z’ =
(1 + i √ 3)z + 2√ 3 − i √ 3
a pour unique solution (2 √ 3−i √ 3) /(1−1−i
√ 3) = 1 − 2i.
De plus, 1 + i √
3 = 2( 1 /2 + i √ 3 /2 ) = 2e i π /3 .
Donc f est une
similitude directe de centre Ω(1, −2), de
rapport k = 2 et d’angle θ = π/ 3 .
EXERCICES
EXERCICE
I :
On donne trois
points A, B et C deux à deux distincts et un point D tels que : 𝐴𝐷⃗ = 2𝐴𝐵⃗ − 5𝐶𝐷⃗.
On considère
la similitude directe s telle que : s(A) = A', s(B) = B', s(C) = C' et s(D) = D'.
Justifie que :
𝐴⃗’𝐷⃗ ′ = 2𝐴⃗’𝐵⃗′ − 5𝐶⃗′ 𝐷⃗′ .
EXERCICE II
:
ABC est un triangle équilatéral direct de
centre de gravité G. I est le milieu de [AB]. Pour chacune des similitudes
directes suivantes préciser son rapport et son angle.
EXERCICE
III :
ABCD est un carré direct. O est le centre de
ABCD et I le milieu de [AB]. Pour chacune des similitudes directes préciser son
rapport et son angle.
EXERCICE
IV :
Considérons la
similitude directe plane définie par z’ = (− 1 2 + i √ 3 2 )z +
3 + i √ 3.
EXERCICE V :
Détermine
l’écriture complexe de la similitude directe de centre A d’affixe i, de rapport
√2 et d’angle π/4 .
EXERCICE VI:
Eléments
caractéristiques de la similitude directe
d’écriture complexe
: z’= (−2 + 2i)z + 5 + i
EXERCICE
VII :
On considère
les similitudes directes
s1 : z’= 2iz+1−2i et s2 : z’= (1−i)z+1+i.
Déterminer
l’expression complexe puis la nature et les éléments caractéristiques de le
similitude s2 ◦ s1 et de s −1 .
EXERCICE
VIII :
Soit s la similitude directe d’écriture
complexe : z’ = (1 − i) z + 2 − i.
1. Déterminer
les éléments caractéristiques de s.
2. Déterminer et construire l’ensemble des
points M d’affixe z tels que :
| (1 − i) z + 2 − i |= 4
3. Retrouver
le résultat de la question précédente par une méthode algébrique.
EXERCICE IX :
Le plan
complexe est muni d'un repère orthonormé direct.
On considère l'application s du plan dans
lui-même qui à tout point M de coordonnées (x, y), associe le point M' de coordonnées (x', y') telles que :
1) Trouve
l'écriture complexe de s.
2) Déduis-en
que s est une similitude directe.
CORRIGES
EXERCICE
I :
𝐴𝐷⃗ = 2𝐴𝐵⃗− 5𝐶𝐷⃗
Û −6𝐴𝐷⃗ + 2𝐴𝐵⃗ + 5𝐴𝐶⃗ = ⃗0 .
Û A = bar{(D,
-6) ; (B, 2) ; (C, 5)}.
Toute
similitude directe conserve le barycentre.
D'où,
A' = bar{(D', -6) ; (B', 2) ; (C', 5)}.
Donc,
−6𝐴⃗′𝐷⃗′ + 2𝐴⃗𝐵⃗ ′ + 5𝐴′𝐶′ ⃗= ⃗0 . Par suite 𝐴′𝐷′ ⃗= 2𝐴′𝐵′ ⃗ − 5𝐶′𝐷′ ⃗
EXERCICE
II :
1) s1
a pour centre B et s1(I) = C On obtient alors pour rapport et angle : k = BC BI
= 2 et θ = − π 3 2) s2 a pour centre I et s2(A) = C On obtient
alors pour rapport et angle : k = IC IA = √ 3 AB 2 × 2 AB = √ 3 et
θ = − π 2 3) s3 a pour centre A et s3(G) = C On obtient alors
pour rapport et angle : k = AC AG = AC 2 3 × √ 3 AC 2 = √ 3 et
θ = π
EXERCICE III :
1) s1
a pour centre C et s1(A) = B On obtient
alors
pour rapport et angle : k = CB /CA = √ 2 /2 et θ = π /4
2) s2
a pour centre O et s2(I) = C On obtient
alors pour rapport et
angle : k = OC/ OI = √ 2 et θ = 3π
EXERCICE
IV :
On a : | − 1/
2 + i √ 3/ 2 | = 1
et arg(− 1/ 2
+ i √ 3/ 2 ) = 2π /3 (2π).
D’autre part, 3+i √ 3 /(1+ 1/ 2 −i √ 3/ 2)
= 3+i √ 3 /(3
/2 −i √ 3 /2)
= 2(3+i √ 3)/ (3−i √ 3 }
= 2(3+i √ 3)(3-iѴ3)/(
(3+i √ 3)(3-iѴ3)=2
= 2(6+6i √ 3) /12 = 1 + i √ 3.
Cette
similitude directe est donc la rotation d’angle θ = 2π /3 et de
centre Ω(1; √ 3).
EXERCICE V:
z' = √2𝑒 𝑖 π /4(z − zA) + zA
z'= √2 ( √2 /2 + 𝑖 √2 /2 ) (𝑧 − 𝑖) + 𝑖
z'= (1 + 𝑖)(z – 𝑖) + 𝑖 z'= (1 + 𝑖)z + 1
L’écriture complexe de la similitude directe s
est : z'= (1 + 𝑖)z + 1.
EXERCICE VI :
On
obtient donc :
➪ k = | − 2 + 2i| = 2|1 +
i| = 2 √ 2
➪ on a alors cos θ = −
1 /√ 2 et sin θ = 1/ √ 2,
on obtient donc θ = 3π /4
➪ on résout l’équation au point
fixe pour obtenir le centre :
ω = (−2 + 2i)ω + 5 + i
< =>ω(1 + 2 − 2i) = 5 + i
<
=>ω(3 −
2i) = 5 + i
=>ω =( 5 + i )/(3 −
2i)
= (5 + i)(3 +
2i)/13=1+i
EXERCICE VII :
s1 a pour expression complexe
z’ = 2e i π /2 z + 1 − 2i.
Donc
elle a pour rapport k1 = 2 et d’angle θ1 = π/ 2 .
s2 a pour
expression complexe
z’= √ 2e −i
π/ 4 z + 1 + i.
Donc
elle a pour rapport k2 = √ 2 et d’angle θ2 = −
π /4 .
La
composée s2 ◦ s1 est donc une similitude directe de
rapport
k = k1k2
= 2√ 2 et d’angle θ = θ1 + θ2 =
π/ 2 − π /4 = π/ 4 .
La réciproque s1 −1 de s1 est une
similitude directe de rapport
k’= 1/ k1 = 1 /2 et
d’angle θ’ = −θ1 = − π/ 2 .
Attention ! !
s ◦ s 0 et s 0 ◦ s ne sont pas égales.
Remarque.
Si deux similitudes directes ont même centre, alors s 0 ◦ s =
s ◦ s 0 , c’est-á-dire composées
d’homothéties et de rotations de même centre.
EXERCICE
VIII
1.
Soit M(z). On a s(M) = M
⇒ z = (1 − i)z + 2 − i
⇒ [1 − (1 − i)]z = 2 – i
iz =
2 − i =
⇒ z = (2−i)/ i = −1 − 2i.
Par
ailleurs 1 − i = √ 2( √ 2/ 2 −
i √ 2 /2 ) = √ 2e −i π/ 4 .
Donc s est la similitude de centre
Ω(−1; −2)
de rapport √ 2 et d’angle −π/ 4 .
2. On a : |(1 −
i)z + 2 − i| = 4
⇒ |z z’| = 4
⇒ |1 − i||z + 2+i 1−i | = 4
=⇒ |z + (2−i)(2+i) /2 | = √ 4 2 =
⇒ |z + 3+i /2 | = 2√ 2 =⇒
=⇒ AM = 2√ 2 avec A(− 3/ 2 ; − 1/ 2 ). Donc M décrit C(A; 2√ 2).
3.
Retrouvons ce résultat par une méthode algébrique.
Posons z = x + iy et z’= x’ + iy’ .
On a
: |(1−i)z+2−i| = 4 =⇒ |(1−i)(x+iy)+2−i| = 4 =⇒ |x+y+2+i(−x+y−1)|
= 4 =
⇒ (x+y+2)2+(−x+y−1)2 = 16
⇒ x 2+y 2+4+4x+4y+2xy+x 2+y 2+1+2x−2y−2xy
= 16 =
⇒ 2x 2+2y 2+6x+2y+5 = 16
⇒ x 2+y 2+3x+y+ 5/ 2 = 8
⇒ (x+ 3/ 2 ) 2− 9/ 4+(y+ 1/
2 ) 2− 1/ 4+ 5/ 2 = 8 =
⇒ (x + 3/ 2 ) 2 + (y + 1/ 2 ) 2
= 8.
Donc
M décrit C(A; 2√ 2).
9 +
4 = 15 + 10i + 3i – 2/ 13 = 13 + 13i /13 = 1 + i la similitude est de rapport 2√
2 d’angle θ = 3π/ 4 et de centre Ω(1 +
i).
EXERCICE IX :
1)Posons
: z = x + iy et z' = x' + iy' ou z et z’ sont les affixes respectives de M et
M’.
z = x + iy
z' = x' + iy'
z' = (x +y -3) + i(- x+ y +2) z' = x +y -3 + - ix + i y +2i
= (1- i)x + (1+ i)y
- 3 + 2i = (1 - i)x + (1- i)iy - 3 + 2i |
on met i en facteur dans le bloc (1+i)y = (1- i)(x + iy) - 3 + 2i = (1
- i)z - 3 + 2i
L'écriture complexe de S est : z’ = (1 - i)z - 3 + 2i.
2)
L'écriture complexe de s est de la forme :
z' = az + b où a Î ℂ* et b Î ℂ.
D'où, s est une similitude directe.